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L'itinérance d'un célèbre orchestre tzigane du XXe siècle qui a été envoyé dans un camp de concentration, qui a traversé la guerre d’ex-Yougoslavie en 1993 et dont le seul réchappé est Azlan, le meneur, qui atterrit, sans-papiers, à Calais, en 2009. . ©Electre 2015
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Le narrateur relate ses premières années d'exil entre 1992 et 2000, depuis son arrivée à Rennes après sa désertion de l'armée bosniaque. Il décrit la vie dans un foyer parmi les familles africaines et les anciens soldats russes. Il raconte son errance à Budapest, à Prague puis son arrivée à Strasbourg où il obtient un logement stable. ©Electre 2016
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Le narrateur relate ses premières années d'exil entre 1992 et 2000, depuis son arrivée à Rennes après sa désertion de l'armée bosniaque. Il décrit la vie dans un foyer parmi les familles africaines et les anciens soldats russes. Il raconte son errance à Budapest, à Prague puis son arrivée à Strasbourg où il obtient un logement stable. ©Electre 2016
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Portrait de la ville de Sarajevo à travers l'évocation de personnages historiques et de lieux emblématiques qui ont tous un rapport avec l'assassinat de l'archiduc François-Ferdinand, le 28 juin 1914.
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Poursuivant l'entreprise commencée avec son Manuel d'exil, Velibor Colic reproduit l'errance désespérée des migrants, évoquant avec humour ses rapports avec les institutions, les administrations, les psychiatres mais aussi les écrivains et les femmes. Il mêle à ce récit autobiographique une réflexion tourmentée et lucide sur l'exil.
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Le quotidien d'un enfant partagé entre un père adepte du maréchal Tito et une mère fervente catholique.
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Un récit halluciné et drolatique dans lequel l'écrivain relate son enrôlement au sein des troupes croato-bosniaques pour participer à l'invasion de la Bosnie en 1992. Il raconte son quotidien de soldat jusqu'à sa désertion, laquelle le contraint à l'exil et à se défaire de sa langue maternelle pour le français. L'horreur de la guerre est contrebalancée par la douceur des souvenirs amoureux.